Le domaine de l’automobile ne cesse de voir naître différentes sortes de véhicules au fil des années sur les routes de France. Après avoir rendu électriques les véhicules, les constructeurs ont pensé à les rendre autonomes. Cette idée a donné lieu à une nouvelle catégorie de voitures pouvant circuler sans aucune intervention de l’Homme. Quels sont les points essentiels à savoir sur ces nouveaux produits de l’industrie automobile ?
Qu’est-ce vraiment une voiture autonome ?
L’idée du véhicule dit autonome date des années 70, mais n’a pas vraiment été vulgarisée. Ce n’est qu’en 2010 que l’industrie automobile permettra les premiers essais de cette voiture. Ce véhicule a tout pour rendre les navettes de son conducteur faciles grâce à son système intégré. Constituée de plusieurs robots qui dirigent diverses fonctions du véhicule, cette voiture se pilote automatiquement tout en respectant le code de la route. Par exemple, sans l’intervention du conducteur, le véhicule peut limiter sa vitesse ou freiner au moment opportun.
Le plus impressionnant avec ces véhicules qui arrivent France ainsi que d’autres pays d’Europe sont qu’ils sont équipés de radars et de caméras leur permettant d’analyser les éléments routiers. Il s’agit notamment des obstacles, des panneaux de signalisation et des signalisations au sol. Mieux, leur système intégré permet une communication entre les véhicules autonomes sur la route. Plusieurs marques de voitures ont déjà suivi la dynamique. On peut citer entre autres, Google, Mercedes, Ford et Volvo. La valeur de ces véhicules est estimée à plusieurs millions d’euros.
Les voitures autonomes existantes en France
L’industrie automobile a œuvré pour la sortie de nouveaux modèles de véhicules dotés d’une autonomie complète. Cette annonce a notamment ravi les usagers de la route de divers pays, dont la France, puisqu’il limiterait l’excès de vitesse en pleine circulation. Les grandes marques automobiles ont suggéré à chaque usine de se servir de capteurs hautement performants pour mettre à niveau les nouveaux modèles de voitures autonomes. Les constructeurs s’en sont inspirés pour fabriquer les voitures autonomes de niveaux 3, 4 et 5.
Il existe un grand écart de performance entre les niveaux d’autonomie des véhicules connectés ce qui différencie leurs performances. À cet effet, la voiture connectée ou autonome du premier niveau requiert l’assistance du conducteur pour être fonctionnelle. C’est un impératif pour garantir la mobilité du véhicule sur les routes. Le second niveau d’une voiture autonome est doté d’un système en partie automatisé. Elle est indépendante du conducteur lors des stationnements et des dépassements. Au fil du temps, ce véhicule pourrait servir de taxis sur les routes françaises.
La voiture autonome d’un niveau supérieur bénéficie plutôt d’une autonomie complète sur la route. La mobilité et le changement de vitesse de ses véhicules sont associés à un système automatisé et indépendant. Cependant, aux niveaux 3 et 4, le conducteur doit intervenir dans des situations exceptionnelles.
Les nouvelles réformes des voitures autonomes en France
La communauté française a accueilli à bras ouverts l’avènement des voitures autonomes. Dans l’optique de préserver la sécurité de sa population, le code de la route a connu certaines réformes. En France, il est désormais permis de rouler sans assistance avec son auto. Un cadre législatif a également été instauré pour encourager les tests de conduite de ce type de véhicule en France.
Les compagnies d’assurances préparent des réformes pour proposer de nouvelles offres répondant aux attentes des clients.
En résumé, la voiture autonome a passé l’étape de l’autonomie incomplète à un système entièrement autonome. Tous les pays y compris la France ont adhéré à cette évolution des engins automobiles. Des réformes s’en sont suivies pour optimiser la sécurité des conducteurs de ces véhicules.